J.
Reuben Clark (1871-1961) :
Nos
épouses et nos mères possèdent le complément
des pouvoirs de la prêtrise et une fonction tout aussi divine,
d’une importance tout aussi éternelle dans son domaine
que la prêtrise elle-même. (Relief Society Magazine,
décembre 1946, p. 801)
Joseph
Fielding Smith (1876-1972) :
Dieu
offre à ses filles tous les dons spirituels et toutes les
bénédictions que ses fils peuvent obtenir. (Improvement
Era, juin 1970, p. 66)
Le
Collège des douze apôtres :
Pères, avec l’aide, les
conseils et l’encouragement de votre épouse pour
l’éternité, vous présidez votre foyer.
Cela ne signifie pas que vous êtes plus digne ou mieux
qualifié, mais c’est une question de loi et d’appel.
(Frères,
considérez vos voies,
brochure, 1973)
Ezra
Taft Benson :
Le Seigneur a confié aux
hommes la responsabilité de pourvoir aux besoins de leur
famille d’une manière telle que la femme puisse
s’acquitter de son rôle de mère au foyer.
(Enseign,
novembre 1987, p. 49)
Gordon
B. Hinckley :
Dans l’Église, l’homme
ne marche jamais devant sa femme ni derrière elle, mais à
ses côtés. Ils sont égaux. (L'Étoile,
janvier 1997, p. 61)
Dans
mes déplacements, je suis interviewé par des journalistes. Ils ne
manquent jamais de m’interroger sur le statut de la femme dans
l’Église. Ils le font d’un ton presqu’accusateur comme si nous
dénigrions et abaissions la femme. Je réponds invariablement que je
ne connais pas d’autre organisation au monde qui lui offre tant
d’occasions de se développer, d’avoir une vie sociale,
d’accomplir le bien et de détenir des postes de direction et de
responsabilité.
Il
y a de la force et de grandes capacités chez les femmes de l’Église.
Elles savent diriger, elles ont un certain esprit d’indépendance
et cependant éprouvent une grande satisfaction à faire partie du
royaume du Seigneur et à travailler main dans la main avec la
prêtrise pour le faire progresser.
C’est
vous, mes soeurs, qui édifiez vraiment la nation, où que vous
habitiez. En effet, vous avez créé des foyers où régnent la
force, la paix et la sécurité. Ils deviennent la force réelle
d’une nation. (L'Étoile,
janvier 1997, p. 77-78)
La
totalité des secteurs de l’activité humaine est maintenant
accessible aux femmes. Il n’est rien qui vous soit impossible si
vous êtes déterminées à l’obtenir. Vous pouvez ajouter à votre
rêve de la femme que vous voudriez être celui d’une personne
qualifiée pour servir la société et pour apporter une contribution
importante au monde dont elle fait partie. (Le Liahona,
juillet 2001, p. 115)
Thomas
S. Monson :
Bien que votre mari soit le chef de
famille, vous en êtes sûrement le cœur. Ensemble,
en vous respectant et en partageant les responsabilités, vous
faites une équipe imbattable. (Le
Liahona, janvier
2002, p. 117)
L.
Tom Perry :
Depuis le début, Dieu a
enseigné au genre humain que le mariage doit unir le mari et
la femme. Il n’y a donc pas de président ni de
vice-présidente dans une famille. Le mari et la femme
travaillent éternellement en collaboration pour le bien de
leur famille. Ils sont unis
en parole et en action quand ils dirigent et guident leur cellule
familiale. Ils sont sur un pied d’égalité. Ils
planifient et organisent les affaires familiales dans l’unité
et à l’unanimité en allant de l’avant. (Le
Liahona, mai 2004,
p. 71)
Gordon
B. Hinckley :
Vous n’êtes pas des
citoyennes de deuxième catégorie dans le royaume de
Dieu. Vous êtes ses créatures divines. Les hommes
détiennent la prêtrise. Votre rôle est différent,
mais aussi extrêmement important. Sans vous, le plan du bonheur
de notre Père échouerait et n’aurait aucun sens
réel. Vous êtes 50 pour cent de la population de
l’Église et mères des 50 autres pour cent.
Personne ne peut vous ignorer à la légère. (Le
Liahona, novembre
2006, p. 118)
Boyd
K. Packer :
Je ne trouve pas les mots pour
décrire l’apport, les services et le sacrifice consentis
par les femmes des dirigeants de la prêtrise du monde entier.
(Le Liahona,
mai 2008, p. 86)
Dallin
H. Oaks :
Aux
yeux de Dieu, que ce soit dans l’Église ou dans la
famille, les hommes et les femmes sont égaux, avec des
responsabilités différentes. (Le Liahona, mai
2014, p. 50-52)
M. Russell
Ballard :
Certaines
personnes remettent en cause la place de la femme dans le plan de
Dieu et dans l’Église. J’ai été interviewé par suffisamment
de médias nationaux et internationaux pour vous dire que la plupart
des journalistes avec lesquels j’ai discuté avaient des idées
préconçues à ce sujet. Beaucoup ont posé des questions suggérant
que la femme serait, dans l’Église, une citoyenne de seconde
classe. Rien n’est plus éloigné de la vérité.
Dans la
doctrine de notre Église, la femme est l'égale de l'homme tout en
étant différente. (Le Liahona, avril 2014, p. 33, 48)
L’homme
et la femme ont des rôles différents mais d’égale importance.
Les
femmes font partie intégrante du gouvernement et de l’œuvre de
l’Église par leur service comme dirigeantes de la Société de
secours, des Jeunes Filles et de la Primaire, par leur service comme
instructrices, missionnaires à plein temps et servantes du temple ;
et au foyer, là où sont donnés les enseignements les plus
importants de l’Église.
N’oublions
pas qu’environ la moitié de l’enseignement dispensé dans
l’Église l’est par les sœurs. Une grande partie de la direction
est assurée par nos sœurs. De nombreuses possibilités de service
et de nombreuses activités sont planifiées et dirigées par des
femmes. La participation des femmes aux conseils de paroisse et de
pieu et aux conseils généraux du siège de l’Église est une
source de compréhension, de sagesse et d’équilibre.
Les
hommes et les femmes sont égaux aux yeux de Dieu et aux yeux de
l’Église, mais le terme égaux ne signifie pas qu’ils sont
pareils. Bien que les responsabilités et les dons divins des hommes
et femmes soient différents par nature, ils ne le sont ni en
importance ni en influence. Dieu ne considère pas un sexe comme
meilleur ou plus important que l’autre. (Le
Liahona, septembre 2014, p.
35-36)