La prêtrise
 
 
 
 
Joseph Smith :
 
Magnifier son appel, c’est s’en acquitter avec dignité et lui donner de l’importance, de sorte que la lumière des cieux se manifeste dans la façon dont on s’en acquitte et que les autres la voient. Un ancien magnifie son appel quand il apprend en quoi consistent ses devoirs d’ancien et qu’il s’en acquitte. (Le Liahona, mai 2006, p. 56)


Brigham Young :
 
La prêtrise du Fils de Dieu est… la loi par laquelle les mondes sont, ont été et continueront pour toujours et à jamais. (Discourses of Brigham Young, sél. John A. Widtsoe, 1954, p. 130)


Orson Pratt :

 

La Prêtrise Supérieure selon l'Ordre du Fils de Dieu, nous est-il dit dans une révélation moderne, ...détient non seulement le pouvoir du ministère des saints anges qu'on peut voir personnellement, mais aussi le pouvoir de contempler la face de Dieu le Père, afin que par le pouvoir et les manifestations de l'Esprit de Dieu et de ses saints anges nous soyons préparés à entrer dans la présence de Dieu le Père dans le monde à venir et à bénéficier d'une communion continuelle avec lui et à être couronnés de la gloire du royaume céleste pour nous tenir, ensemble, à notre place et dans notre appel à toute éternité avec tous ceux qui détiennent la prêtrise dans les mondes éternels. (Journal of Discourses, vol. 18, p. 333)
 
 
John Taylor :
 
Le pouvoir qui se manifeste par la prêtrise est tout simplement le pouvoir de Dieu. (The Gospel Kingdom, sél. G. Homer Durham, 1941, p. 130)


Joseph F. Smith :
 
Ce n’est ni plus ni moins que la puissance de Dieu déléguée à l’homme par laquelle celui-ci peut agir sur la terre pour le salut de la famille humaine, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et agir légitimement, ne s’attribuant pas cette autorité, ni ne l’empruntant à des générations qui sont mortes et enterrées, mais étant une autorité donnée en ces jours où nous vivons, par le ministère d’anges et l’Esprit d’en haut, envoyés de la présence du Dieu Tout-puissant. (Gospel Doctrine, 5e éd., 1939, p. 139-140)
 
 
John A. Widtsoe :
 
Nous ne pouvons pas marcher, ni parler, ni agir comme les autres hommes, parce qu’une destinée, une obligation et une responsabilité différentes sont placées sur nous et que nous devons nous y adapter. (Conference Report, avril 1940, p. 36)
 
 
George Albert Smith :
 
Votre tout premier devoir est d’apprendre ce que le Seigneur veut et puis, par le pouvoir et la force de sa sainte prêtrise, de magnifier votre appel en présence de vos pairs de telle manière que les gens vous suivent avec plaisir. (Conference Report, avril 1942, p. 14)
 
 
Delbert L. Stapley :
 
Magnifier son appel : Magnifier c’est honorer, exalter, glorifier et faire que cela soit tenu en plus grande estime ou davantage respecté. Cela signifie aussi augmenter l’importance, l’étendue et la grandeur. (Conference Report, avril 1957, p. 76)
 
 
Harold B. Lee :
 
Quand un homme devient détenteur de la prêtrise, il devient un agent du Seigneur. Il doit envisager son appel comme le fait d’être au service du Seigneur. (Stand Ye in Holy Places, 1974, p. 255)


Bruce R. McConkie :

 

La prêtrise est plus grande que n'importe lequel de ses offices. Nous sommes un royaume de frères, une assemblée d'égaux, qui tous ont le droit de recevoir toutes les bénédictions de la prêtrise. Aucune bénédiction n'est réservée aux Apôtres qui ne soit librement accessible à tous les anciens du royaume ; on a des bénédictions par son obéissance et sa justice personnelle et non à cause de son poste administratif. Je vais parler de ces bénédictions – les dix bénédictions de la prêtrise – qui sont accessibles à tous ceux d'entre nous qui détiennent la Sainte Prêtrise de Melchisédek...  Dixième bénédiction : nous avons le pouvoir – et cela dépend de nous – de vivre de manière à ce que, acquérant un cœur pur, nous puissions voir la face de Dieu alors que nous demeurons encore comme mortels dans un monde de péché et d'afflictions. C'est la bénédiction suprême de la mortalité ; elle est offerte par ce Dieu qui ne fait point acception de personnes à tous les fidèles de son royaume... Dieu veuille que nous gardions les commandements et soyons héritiers de tout ce qu'un Seigneur généreux promet à son peuple. (L'Étoile, avril 1978, p. 48-52)

 
 
Boyd K. Packer :
 
Le pouvoir que vous recevez dépend de ce que vous faites de ce don sacré et invisible. Votre autorité découle de votre ordination ; votre pouvoir vient de l’obéissance et de la dignité. (L’Étoile, Avril 1982, p.62)    
 
 
Gordon B. Hinckley :

Je remercie mon Père éternel du rétablissement de la sainte prêtrise. J’ai vu la beauté et le prodige de cette prêtrise dans le gouvernement de cette Église remarquable. J’ai senti sa puissance passer à travers moi pour bénir et guérir les malades. J’ai vu l’ennoblissement qu’elle a donné à des hommes humbles qui ont été appelés à de grandes et graves responsabilités. Je l’ai vu tandis qu’ils parlaient avec une puissance et une autorité venant d’en haut comme si la voix de Dieu parlait à travers eux. (L’Étoile, janvier 1994, p. 63)

C'est le Seigneur qui a décidé que les hommes de son Église doivent détenir la prêtrise. (L’Étoile, janvier 1997, p. 80)
 
L'homme qui fait subir des sévices à sa femme ou à ses enfants n'est pas digne de détenir la prêtrise de Dieu. (LÉtoile, janvier 1999, p. 84)
 
Tout homme qui se comporte en tyran dans son foyer n’est pas digne de la prêtrise. Il ne peut pas être l’instrument qui convient entre les mains du Seigneur s’il ne fait pas preuve de respect, de gentillesse et d’amour envers la femme de son choix.
 
De même, un homme qui montre le mauvais exemple à ses enfants, qui ne peut pas maîtriser son humeur, ou qui se comporte de manière malhonnête ou immorale, verra le pouvoir de sa prêtrise annulé. (Le Liahona, janvier 2002, p. 60)
 
 
Russel M. Nelson :
 
Lorsque vous êtes ordonnés à un office de la prêtrise, vous recevez une autorité. Mais c’est en utilisant cette autorité en droiture que vous acquérez du pouvoir. (Le Liahona, novembre 2003, p. 44, colonne 3)
 
 
Thomas S. Monson :
 
Nous, qui avons été ordonnés à la prêtrise de Dieu, pouvons faire changer les choses.
 
Lorsque nous sommes dignes d’avoir l’aide du Seigneur, nous pouvons édifier des garçons, guérir des hommes, accomplir des miracles à son service sacré. Nos possibilités sont illimitées. (Le Liahona, mai 2004, p. 57)
 
 
La prêtrise n’est pas tant un don que la mission de servir, le droit d’édifier et l’occasion de bénir autrui.
 
Nous, détenteurs de la Prêtrise de Melchisédek, nous avons constamment l’occasion de magnifier notre appel. Nous sommes des bergers qui veillent sur Israël. Les brebis affamées attendent qu’on leur donne le pain de vie. Sommes-nous prêts à paître le troupeau de Dieu ? Il est impératif que nous prenions conscience de la valeur de l’âme humaine, que nous n’abandonnions jamais l’un des précieux fils de Dieu.
 
Il y a des miracles partout où les appels de la prêtrise sont magnifiés. Quand la foi remplace le doute, quand le service désintéressé élimine les efforts égoïstes, le pouvoir de Dieu réalise ses desseins. Dieu qualifie celui qu’il appelle. (Le Liahona, mai 2006, p. 57)
 
 
Henry B. Eyring :
 
Le collège est une unité de service et les membres apprennent en servant. Un collège peut rendre de plus grands services qu’un de ses membres ne peut le faire seul. Ce pouvoir est multiplié par davantage que le nombre qui le compose. Chaque collège a un dirigeant qui a l’autorité et la responsabilité de diriger le service de la prêtrise.
 
Un pouvoir miraculeux peut se manifester quand les collèges s’efforcent de servir les autres. Il se produit aussi des miracles quand il s’agit de servir les membres de son collège de la prêtrise. (Le Liahona, novembre 2006, p. 44, 45)
 
 
James E. Faust :
 
La prêtrise est l’autorité déléguée à l’homme d’exercer le ministère au nom de Dieu. (Le Liahona, mai 2007, p. 54)
 
 
Gordon B. Hinckley :
 
Il y a eu le rétablissement de la prêtrise, c’est-à-dire de l’autorité donnée à l’homme de parler au nom de Dieu. (Le Liahona, mai 2007, p. 84)
 
 
Thomas S. Monson :
 
Nous avons la responsabilité de vivre de manière à être toujours dignes de la prêtrise que nous détenons.
 
Soyons toujours en mission pour le Seigneur afin d’avoir toujours droit à son aide. (Le Liahona, mai 2007, p. 57, 60)
 
 
Henry B. Eyring :     
 
Le pouvoir de la prêtrise est donné pour bénir autrui. (Le Liahona, novembre 2007, p. 57, col. 2, par. 3)
 
Le service de la prêtrise accompli avec foi a le pouvoir de changer notre coeur et nos sentiments. (Le Liahona, mai 2008, p. 63)
 
 
Thomas S. Monson :
 
En tant que détenteurs de la prêtrise de Dieu, nous avons le devoir de vivre de manière à être des exemples de droiture que les autres puissent suivre. (Le Liahona, mai 2008, p. 66)
 
 
Richard G. Scott :
 
La prêtrise est l’autorité d’agir au nom de Dieu. Cette autorité est indispensable pour accomplir son oeuvre sur la terre. La prêtrise que nous détenons est une part de l’autorité éternelle de Dieu qui nous est déléguée. Si nous sommes loyaux et fidèles, notre ordination à la prêtrise sera éternelle.
 
Cependant, le simple fait de conférer l’autorité ne suffit pas à accorder le pouvoir de l’office. Notre capacité d’exercer le pouvoir de la prêtrise est fonction de notre dignité, de notre foi au Seigneur Jésus-Christ et de notre obéissance à ses commandements. Un fondement sûr de connaissance de l’Évangile accroît de beaucoup notre capacité d’utiliser dignement la prêtrise.
 
Le modèle parfait d’utilisation de la sainte prêtrise est notre Sauveur, Jésus-Christ. Il a exercé son ministère avec amour, compassion et charité. Par sa vie, il a donné un exemple sans pareil d’humilité et de pouvoir. Les plus grandes bénédictions venant de l’utilisation de la prêtrise découlent du service que nous rendons avec abnégation. En suivant son exemple en détenteur fidèle et obéissant de la prêtrise, nous pouvons accéder à un grand pouvoir. Quand cela nous est demandé, nous pouvons exercer le pouvoir de guérison, de bénédiction, de consolation et de conseil en suivant fidèlement les murmures discrets de l’Esprit.
 
L’objectif de l’autorité de la prêtrise est de donner, de servir, d’édifier, d’inspirer et non pas de faire preuve d’injustice ou d’user de la force.
 
(Le Liahona, novembre 2008, p. 44-45)
 
 
Henry B. Eyring :
 
Dieu peut nous donner un surcroît de force spirituelle quand nous repoussons nos limites pour servir. Grâce au pouvoir de l’expiation de Jésus-Christ, notre nature peut être changée. Alors notre capacité de porter des fardeaux peut être augmentée beaucoup plus qu’il n’est nécessaire pour le surcroît de service qu’on nous demandera.
 
Cette mise à l’épreuve jusqu’à nos limites au service de la prêtrise est rendue nécessaire par le plan de Dieu pour qualifier ses enfants afin qu’ils retournent vivre éternellement avec lui.
 
Il n’est pas surprenant que nous nous sentions de temps en temps surchargés. Lorsque vous vous dites « Je ne suis pas sûr de pouvoir faire cela », c’est la preuve que vous comprenez ce que signifie détenir la prêtrise de Dieu. Le fait est que vous ne pouvez pas le faire tout seul. La responsabilité est trop grande, c’est trop difficile pour vos possibilités mortelles et pour les miennes. En être conscient est à la base du grand service de la prêtrise.
 
Lorsque nous avons ces sentiments d’incompétences, il est temps de nous souvenir du Sauveur. Il nous assure que nous ne sommes pas seuls pour accomplir cette oeuvre.
 
Je vous témoigne que, si nous nous donnons entièrement au service de la prêtrise, le Seigneur nous donnera le courage dont nous avons besoin et l’assurance qu’il nous accompagne et que des anges nous soutiendront. (Le Liahona, novembre 2008, p. 57, 58, 60)
 
 
Thomas S. Monson :
 
Nous avons les mains nécessaires pour faire sortir les autres de l’autosatisfaction et de l’inactivité. Nous avons le coeur qu’il faut pour servir fidèlement dans nos appels de la prêtrise et ainsi en inspirer d’autres à marcher à un niveau plus élevé pour éviter les marécages du péché qui menacent d’engloutir tant de gens. (Le Liahona, novembre 2008, p. 61)
 
 
Boyd K. Packer :
 
La prêtrise est quelque chose que vous ne pouvez ni voir, ni entendre, ni toucher mais c’est une autorité et un pouvoir réels. (Le Liahona, mai 2009, p. 50)
 
 
Dieter F. Uchtdorf :
 
La sainte prêtrise nous a été confiée et nous avons été chargés de la responsabilité, du pouvoir et du droit d’agir en représentants de notre Roi céleste.
 
Nous ne pouvons pas et ne devons pas nous permettre de nous laisser distraire de notre devoir sacré. 
 
Imaginez le changement bénéfique que le monde lui-même pourrait connaître si chaque homme qui détient la prêtrise de Dieu se ceignait les reins et se montrait à la hauteur de son vrai potentiel, converti jusqu’au tréfonds de son âme, et était un homme de la prêtrise loyal et fidèle, engagé à établir le royaume de Dieu. (Le Liahona, mai 2009, p. 60, 62)
 
 
Henry B. Eyring :
 
C’est sur le sentiment d’être responsable d’autrui que repose le service fidèle de la prêtrise.
 
Vous êtes sous une alliance, qui vous a été clairement présentée, à savoir que, quand vous avez accepté ce que Dieu vous a confié, en recevant la prêtrise, vous avez accepté d’être responsable de tout ce que vous feriez ou manqueriez de faire pour le salut des autres, aussi difficile ou dangereux que cela puisse vous paraître.
 
Votre office dans la prêtrise, quel qu’il soit, vous donne l’obligation de « fortifier les mains languissantes et d’affermir les genoux qui chancellent » (D&A 81:5) des gens qui vous entourent. Vous êtes le serviteur du Seigneur qui a fait alliance de faire pour les autres, de son mieux, ce que lui ferait.
 
Le malheur d’un homme, ou d’une femme, qui est tombé devient la peine de celui qui aurait pu aider mais ne l’a pas fait. Le bonheur des gens que vous êtes appelés à servir en tant détenteurs de la prêtrise et le vôtre sont liés.
 
Aucun de vous n’aura peut-être de position d’autorité dans le collège. Mais vous vous sentirez responsable de votre frère dans la prêtrise.
 
Puissions nous avoir une part du désir qu’avait Jéhovah, quand, dans le monde précédant le nôtre, il a demandé à quitter les royaumes de gloire pour nous servir et donner sa vie pour nous.
 
Dieu vous donnera la force et l’inspiration nécessaires pour remplir votre tâche d’aider ses enfants à trouver le chemin du bonheur rendu possible par l’Expiation de Jésus-Christ. (Le Liahona, mai 2009, p. 63, 64, 66)
 
 
Thomas S. Monson :
 
Chaque homme, chaque garçon qui détient la prêtrise de Dieu se doit d’être digne de ce grand honneur et de cette grande responsabilité. Chacun d’eux doit s’efforcer d’apprendre son devoir et de l’accomplir ensuite de son mieux. En le faisant, nous donnons à notre Père céleste et à son Fils Jésus-Christ les moyens d’accomplir leur oeuvre ici-bas. C’est nous qui sommes leurs représentants ici-bas.
 
Dieu soutient ses serviteurs en justice lorsqu’ils évitent les maux de notre époque et mènent une vie vertueuse et pure. (Le Liahona, mai 2009, p. 67, 69)
 
 
Henry B. Eyring :
 
La prêtrise est l’autorité d’agir au nom de Dieu. C’est le droit de faire intervenir les pouvoirs du ciel. (Le Liahona, novembre 2009, p. 59)
 
 
Boyd K. Packer :
 
L’autorité de la prêtrise vient de l’ordination ; le pouvoir de la prêtrise vient du respect fidèle et obéissant des alliances. Il augmente lorsque l’on exerce la prêtrise en justice. (Le Liahona, mai 2010, p. 9)
 
 
Dallin H. Oaks :
 
L’autre partie de la bénédiction de la prêtrise ce sont les paroles que l’ancien prononce après le scellement de l’onction... Heureusement les paroles de la bénédiction ne sont pas essentielles à la guérison. Si la foi est suffisante et si Dieu le permet, le malade guérira ou sera béni que le frère qui parle dise ces mots ou non.
 
Les paroles prononcées dans une bénédiction de guérison peuvent édifier et stimuler la foi des personnes qui les entendent, mais l’effet de la bénédiction dépend de la foi et de la volonté du Seigneur, non des paroles prononcées par l’ancien qui donne la bénédiction. (Le Liahona, mai 2010, p. 49, 50)
 
 
Henry B. Eyring :
 
Comme la Prêtrise d’Aaron, la Prêtrise de Melchisédek est plus que la mission de faire ce que le Seigneur ferait. C’est une invitation à devenir tel qu’il est.
 
Le Seigneur est notre exemple parfait de diligence dans le service de la prêtrise. Il est notre capitaine. Il nous a appelés. Il marche devant nous. Il nous a choisis pour le suivre et pour emmener d’autres personnes avec nous.
 
En servant fidèlement et grâce à son Expiation, nous pouvons réussir à vouloir ce qu’il veut et être ce que nous devons être pour bénir les personnes que nous servons pour lui. Si nous le servons suffisamment longtemps avec diligence, nous serons changés. Nous pouvons devenir davantage semblables à lui. (Le Liahona, mai 2010, p. 61, 62, 63)
 
 
Dieter F. Uchtdorf :
 
Nous savons que l’apport que nous pouvons faire est petit, cependant, quand nous exerçons le pouvoir de la prêtrise avec justice, Dieu peut susciter une oeuvre grande et merveilleuse qui sera le fruit de nos efforts. (Le Liahona, novembre 2010, p. 57)
 
 
Henry B. Eyring :
 
Le repentir, la prière et la méditation sur les Écritures sont des éléments essentiels de notre qualification pour avoir les dons de l’Esprit dans notre service dans la prêtrise. Notre pouvoir de servir est magnifié encore davantage quand nous exerçons notre foi pour aller de l’avant dans nos appels avec l’aide du Saint-Esprit.
 
Nous serons tous envoyés par le Seigneur porter secours à des gens qui ont besoin de notre secours. C’est encore un service de la prêtrise dans lequel nous sentirons l’influence de l’Esprit augmenter notre pouvoir de servir. Vous verrez que vous serez plus capables de reconnaître la douleur et l’inquiétude sur le visage des gens. Les noms ou les visages de membres de votre collège vous viendront à l’esprit avec l’impression qu’ils sont dans le besoin.
 
Nous n’avons pas besoin de nous inquiéter de ce qu’il faut dire ou faire une fois sur place. L’amour de Dieu et du Saint-Esprit peuvent être suffisants. (Le Liahona, novembre 2010, p. 60, 61)


Dallin H. Oaks :

Le Seigneur a décidé que seuls les hommes seraient ordonnés aux offices de la prêtrise. (Le Liahona, mai 2014, p. 50-52)


M. Russell Ballard :

Quand les hommes et les femmes vont au temple, ils sont dotés de la même puissance, qui est le pouvoir de la prêtrise. L’autorité de la prêtrise est dirigée par les clés de la prêtrise et ces clés ne sont détenues que par des hommes dignes. Mais l’accès au pouvoir et aux bénédictions de la prêtrise est ouvert à tous les enfants de Dieu. (Le Liahona, septembre 2014, p. 35-36)


Dale G. Renlund
:

À chaque homme qui reçoit la Prêtrise de Melchisédek, Dieu affirme les promesses de son alliance par un serment. Ce serment ne se rapporte qu’à la Prêtrise de Melchisédek et c’est Dieu qui fait le serment, pas le détenteur de la prêtrise. Il n'y a pas de référence ou récit scripturaire attestant que le récipiendaire fait un serment quand il contracte l’alliance de la Prêtrise de Melchisédek. En revanche, c’est Dieu qui fait un serment quand il fait alliance avec le récipiendaire (voir JST-Genèse 14:27-31 ; [Genèses 26:3] ; Psaumes 110:1, 4 ; [Jérémie 11:5 ; Luc 1:72-75] ; Hébreux 7:21 ; D&A 84:40[-41]). (Le Liahona, novembre 2017)